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Exigences à la table ronde coronavirus : extension du chômage partiel et obligation d’un concept de protection pour toutes les entreprises

13. novembre 2020
Corona, Gesichter, Virus, Arbeitnehmende

Lors de la table ronde virtuelle sur le coronavirus qui s'est tenue aujourd'hui avec le conseiller fédéral Guy Parmelin, les cantons et les organisations faîtières des partenaires sociaux, Travail.Suisse a une nouvelle fois demandé l'obligation générale d'élaborer un concept de protection pour toutes les entreprises. Travail.Suisse demande à nouveau aux cantons de déployer plus de personnel pour surveiller la protection de la santé dans les entreprises. Travail.Suisse soutient l'extension prévue du chômage partiel aux employé-e-s à contrat à durée déterminée. Toutefois, il convient également d’inclure les salarié-e-s temporaires.

Les discussions tripartites entre la Confédération, les cantons et les organisations faîtières des partenaires sociaux ont été intensives depuis le déclenchement de la pandémie de coronaviruis. Une autre table ronde a eu lieu au milieu de la deuxième vague. Travail.Suisse a saisi cette occasion pour présenter les réactions de ses fédérations membres sur la situation des entreprises dans toute la Suisse et pour formuler des demandes concrètes.

Il est important pour Travail.Suisse de renforcer les concepts de protection. "L'obligation de mettre en œuvre des concepts de protection devrait être étendue à toutes les entreprises", demande Adrian Wüthrich, président de Travail.Suisse. Environ la moitié des salarié-e-s ne peuvent pas travailler depuis chez eux. Il faut lutter contre les infections sur le lieu de travail plus systématiquement. Cela nécessite des mesures concrètes dans les entreprises et leur mise en œuvre. Les cantons sont chargés d’effectuer les contrôles et ils doivent enfin augmenter leur nombre. Les entreprises qui ne respectent pas les mesures compromettent la lutte contre la pandémie dans un esprit de solidarité, au détriment de la santé de leurs employé-e-s. L'appel est également adressé aux salarié-e-s pour qu'ils se conforment aux mesures. Pour Travail.Suisse, il est important de mentionner que les autorités fédérales ont une fois de plus clairement indiqué qu'en cas de quarantaine, il existe un droit à une indemnisation par les APG. En l'absence de confirmation du médecin cantonal, les APG acceptent également une autodéclaration.

Travail.Suisse soutient l'extension prévue du chômage partiel et les simplifications administratives correspondantes afin que le plus grand nombre possible d'entreprises puissent survivre à la deuxième vague sans licenciements. "Une fois de plus, nous avons exigé que les salarié-e-s à faible revenu reçoivent une compensation à 100 % pour leur manque à gagner", souligne Adrian Wüthrich. La possibilité de chômage partiel a maintenant été étendue à 18 mois, ce qui entraînera des problèmes financiers à long terme pour de nombreux salarié-e-s.

Dans le cadre de la consultation sur l'ordonnance pour les cas de rigueur, Travail.Suisse demande que l’on augmente les fonds à au moins un milliard de francs. La restauration et l'hôtellerie sont des secteurs très touchés et doivent être soutenus. Pour Travail.Suisse, il est clair qu’il faut soutenir seulement les entreprises qui se sont abstenues de procéder à des licenciements à grande échelle.

 

 


Pour plus d‘informations :
Arno Kerst, président de Syna, 079 598 67 70
Adrian Wüthrich, président de Travail.Suisse, 079 287 04 93

Au sujet de Travail.Suisse

Travail.Suisse est la principale organisation faîtière indépendante des travailleurs et travailleuses en Suisse, elle agit en toute indépendance politique et confessionnelle. Travail.Suisse défend sur le terrain politique et auprès du grand public les intérêts des 130 000 membres des fédérations affiliées, et plus généralement de tous les travailleurs et travailleuses. Travail.Suisse est un des quatre partenaires sociaux au niveau national et compte dix fédérations.

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