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La réinsertion des rentiers et rentières AI nécessite une contribution d’intégration des employeurs

14. juin 2010

Avec la 6ème révision de l’AI, le Conseil fédéral veut réinsérer sur le marché du travail les rentiers et rentières AI et économiser ainsi de l’argent dans l’AI. Travail.Suisse salue une intégration plus élevée des personnes invalides sur le marché du travail. Mais comment trouver les plus de 15’000 jobs nécessaires ? Aucune obligation n’est prévue pour les employeurs. Afin que les mesures ne se transforment pas en tracasseries pour les personnes concernées, il faut de nouvelles solutions. Travail.Suisse demande une contribution d’intégration obligatoire des employeurs ainsi que le développement des entreprises sociales dans l’AI. L’organisation faîtière indépendante de 170’000 travailleurs/euses a publié aujourd’hui un document de position à ce sujet.

Travail.Suisse salue sur le principe des efforts de réinsertion supplémentaires. Pouvoir retravailler correspond aux besoins de très nombreux rentiers et rentières AI. La réinsertion de personnes exclues représente aussi pour notre société une grande valeur. Mais sans une contribution d’intégration obligatoire des employeurs, il est illusoire de croire que l’on peut atteindre les buts poursuivis. C’est pourquoi Travail.Suisse a développé un modèle d’intégration propre et demande au Parlement d’examiner des solutions réalistes de réinsertion au lieu d’augmenter la pression uniquement sur les personnes concernées.

La Suisse est très en retard aujourd’hui pour l’intégration des personnes handicapées
Si l’on veut réinsérer les rentiers AI, il faut mettre à disposition des emplois pour eux. En comparaison avec les pays voisins, les personnes aux capacités de prestation limitées sont peu nombreuses à être intégrées sur le marché du travail. En Allemagne et en France, les employeurs sont obligés d’occuper des personnes handicapées afin de parvenir à un taux d’activité plus élevé pour ce groupe. Leur pourcentage par rapport au total des personnes occupées est nettement plus élevé : environ 4 pourcent en Allemagne et en France contre même pas un pourcent en Suisse.

Nécessité d’une contribution d’intégration obligatoire des employeurs
Il faut donc aussi en Suisse une contribution des employeurs obligatoire à partir des entreprises d’une certaine taille. La contribution d’intégration est effective si l’employeur engage des personnes avec des capacités de prestation limitées ou verse une contribution financière en tant que taxe affectée. Selon le modèle de Travail.Suisse, une place devrait être mise à disposition pour des personnes ayant un handicap pour 40 places de travail à temps plein. Les recettes de la taxe doivent servir à créer des places de travail spécifiquement adaptées aux personnes ayant un handicap.

Développer des alternatives à l’intégration directe dans le premier marché du travail
Il faut aussi développer des alternatives à l’intégration directe dans le premier marché du travail. En fait partie, pour Travail.Suisse, un engagement plus fort de l’AI pour l’édification et la mise en service d’entreprises sociales. Si l’on définit des conditions-cadres justes pour l’insertion via les entreprises sociales, ces dernières offrent des avantages prometteurs, comme par exemple la possibilité de créer des places de travail supplémentaires, grâce à des économies d’échelle. En outre, les entreprises sociales permettent un passage progressif vers le premier marché du travail.

Le document « 6e révision de l’AI : Examiner des voies réalistes d’intégration » est téléchargeable sous http://www.travailsuisse.ch/fr/node/2454.

Über Travail.Suisse

Travail.Suisse ist der wichtigste unabhängige Dachverband der Arbeitnehmenden in der Schweiz, er ist parteipolitisch und konfessionell unabhängig. Travail.Suisse vertritt die Interessen der 130’000 Mitglieder seiner Mitgliedsverbände und aller Arbeitnehmenden in Politik und Öffentlichkeit. Travail.Suisse ist einer der vier nationalen Sozialpartnerdachverbände, ihm gehören zehn Mitgliedsverbände an.

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